[Fic Fruits Basket][spoilers][terminée]Negaeri

Lizou>>>tant mieux (après tout, je ne voulais tuer personne é_è (euh...))
Emu... ben... tu aimais la seule gentille XD
*justement, à propos de la malédiction... à voir dans la suite ;p*
sadique pour la vie... mdr, mais personne n'atteindra jamais mon niveau, voyons ^___^ *pure evil*

Bulle>>>tu le savais ! bravo ^o^
pourquoi la vraie Minne n'a pas réagi à son renvoi ? Parce que Aya ne lui en a pas laissé le temps (voir fin du chapitre en question ;p)
>_< pardooon
*aucun espoir... attend l'épilogue/les bonus avant de dire ça XD*
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Epilogue : Après la fin.


Je suis le Ténébreux, le Veuf, l’Inconsolé,
Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie,
Ma seule Etoile est morte et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie
~Nerval, El desdichado


Kyô s’agenouilla devant la tombe, tendant une main tremblante, effleurant du bout des doigts le nom immortalisé dans la pierre.
Tohru Honda. 1983-2000.
Le jeune homme frémit. Jamais au grand jamais il n’aurait cru voir un jour ce nom ainsi, plaqué sur une dalle grise et froide comme une feuille morte par la pluie d’octobre…
La douleur s’était éloignée, peu à peu, atténuée par le temps. Ça ne lui faisait plus aussi mal de penser à elle, plus aussi mal de penser à ce qu’il aurait pu avoir,s ‘il avait été moins aveugle, ou moins égoïste, ou moins lâche, plus aussi mal de penser que c’était de sa faute.
Yuki était debout derrière lui. Son cousin était silencieux, mais Kyô sentait sa présence.
De par sa mort, elle avait au moins réussi ce miracle dont elle aurait été si heureuse : réconcilier le chat et le rat. De par sa mort, et par une certaine similitude de situation.
C’était grâce au chat que Yuki avait échappé à la folie.
C’était grâce au rat que Kyô réussissait à fuir, parfois. Comme aujourd’hui.
Aujourd’hui, ça faisait quinze ans, quinze ans qu’une tornade de folie et de mort prénommée Mirai avait ruiné les vies d’une quinzaine de personnes.
Mirai. Il repensait à elle presque autant qu’à Tohru. Les deux femmes de sa vie…
Mirai. Finalement…
« - Finalement, elle nous a au moins appris quelque chose, souffla Yuki, derrière lui. Quoiqu’il se passe, quoiqu’on souffre, on peut toujours se relever. Et continuer à avancer. »
Kyô lui jeta un regard surpris, se demandant vaguement si son cousin lisait dans les pensées, maintenant.

Ils avaient gagné.
Perdu.

Très bel épilogue.
Il y des bonus? *bave*

Bulle>>>merci ^^
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le premier bonus, donc, sur "End of all hope" de Nightwish (l'air ne correspond pas du tout, mais les paroles étaient parfaites XD)
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Mirai & Meiryô ~ Trahison.

Mirai se redressa, s’assit et laissa échapper un long bâillement. Elle n’avait pas si bien dormi que ça et elle se sentait particulièrement fatiguée.
Elle avait rêvé du passé. Pour une fois…
Mirai avait toujours vécu au présent en ne pensant qu’au futur ; ses souvenirs n’avaient qu’une place presque insignifiante dans sa vie.
Mais cette nuit, elle avait rêvé du passé, d’une époque pleine de douceur et de rire, d’une journée passée tranquillement, sans se soucier de rien, en haut d’une grande roue. Et, malgré elle, ce rêve l’avait apaisée comme jamais…



Mirai resta un moment étendue, le regard tourné vers la fenêtre, à se livrer à cette activité qui lui était si étrangère – se rappeler.
Se rappeler de l’impression de chaleur et de bonheur qui se dégageait de Tohru. Une douceur qui l’avait attirée, elle aussi.
Se rappeler des grognements boudeurs de Kyô, des silences éloquents de Yuki, du sourire de Tohru, surtout, si fragile à l’époque où elle l’avait rencontrée…
Mirai frémit malgré elle et se força à se lever. Repenser à cette époque ne lui apporterait rien de bon.
Elle se leva, passa une robe de chambre et quitta la pièce, descendant lentement l’escalier, gagnant la cuisine d’un pas mesuré.



Mirai sourit et se servit une tasse de café. Plus jeune, elle buvait du thé, surtout, mais maintenant, elle trouvait le café plus agréable, plus fort, moins amer. Etrange, comme les goûts changeaient.
Etrange, comme elle se mettait à penser au passé. Ce n’était pas comme si c’était important, n’est-ce-pas ? Pas comme si elle pouvait le changer.
Pas comme si elle voulait le changer.
Et Mirai se prit à penser à Tohru.



Bien sûr, ce n’était pas la première fois qu’elle repensait à cette jeune fille si pure qu’elle n’apparaissait pas dans ses visions, à moins d’être fortement impliquée avec l’un des autres. Mais cette fois-ci était différente.
Cette fois-ci, elle repensait à ce que la jeune fille aurait pu devenir, si elle n’était pas arrivée. A ce que cette vie aurait pu donner si elle ne l’avait pas tranchée.
Mirai grimaça. Non. Elle ne devait pas penser à ça. Elle n’aurait pas du penser à ça. La jeune fille frémit, mal à l’aise.
Elle voyait le futur. Elle le connaissait. Elle le modifiait.
Et le seul futur qui lui était à jamais inaccessible continuait à la hanter…



Mirai tortillait la manche de sa robe de chambre, jetant des regards nerveux à l’horloge. Elle aurait voulu que Meiryô soit là, mais le jeune homme ne reviendrait pas avant une bonne heure. Pas avant midi.
Elle détestait ça et elle ne l’aurait jamais avoué, mais en cet instant, elle avait besoin de Meiryô.
C’était vital.
Elle devait le voir, le toucher…
Elle devait s’ancrer à lui pour ne plus penser à rien d’autre… Surtout pas à Tohru… Surtout pas au passé…



Mirai gémit et se leva d’un coup. Elle monta l’escalier et s’activa comme jamais. Elle rangea la chambre, tria deux fois les vêtements avant de choisir un ensemble, de passer dans la salle de bains et d’allumer la douche.
Chaude, très chaude.
Le jet d’eau lui fit du bien, la ramenant doucement à la réalité.
Elle en sortit soulagée, rassérénée. Purifiée, peut-être.
Et quand la porte d’entrée s’ouvrit enfin, le fantôme de Tohru n’était plus qu’un spectre lointain et inoffensif.
Où peut-être était-ce juste ce qu’elle voulait croire ?



Meiryô entra, referma soigneusement la porte derrière lui, et sentit aussitôt la tension qui emplissait l’air de la maison.
Le jeune homme soupira et laissa tomber son sac dans un coin.
Mirai descendait l’escalier à sa rencontre. Tiens. Il était rare qu’elle se donne cette peine. Mais avec tout ce qui s’était passé, il était normal qu’elle finisse par ressentir un brin de dépression…
Dépression n’était peut-être pas le mot juste.
Vague à l’âme, peut-être.
Malaise, plutôt.
Le jeune homme soupira et rejoignit sa femme. Malgré tout, Mirai aussi pouvait avoir des remords… même si elle ne s’était sûrement pas rendu compte que c’en étaient.



C’est une Mirai calmée qu’il retrouva, le soir. Calmée, et froide, et distante, et finalement rien ne semblait s’être passé.
Le jeune homme sourit, s’assit en face d’elle, et appuya son menton contre sa paume.
« - Vous allez mieux ? demanda-t-il. »
Mirai lui jeta un regard noir. Meiryô sourit. Oui, elle allait mieux.



Mirai sourit doucement. Finalement, la vie avec Meiryô se passait bien. C’était presque tranquille, presque heureux. Parfois tendre.
Parfois moins.
Elle n’aurait pas cru pouvoir vire aussi longtemps à ses côtés. Pas sans un massacre à double sens. Car c’était ça, la véritable nature de leur relation…
Je t’aime je te hais j’aimerais te tuer je ne veux jamais te quitter…



Meiryô ne pouvait pas s’empêcher de trouver le comportement de Mirai étrange, encore une fois. La jeune femme semblait d’humeur nostalgique, aujourd’hui. Ça ne lui ressemblait pas du tout.
« - Dites, Mirai, vous êtes très calme.
- Hm. »
Meiryô ne put s’empêcher de penser qu’au moins, ses réponses ne changeaient pas trop.
« - Je pensais à autre chose, reprit Mirai d’une voix basse.
- A quoi ?
- A nous. A ce que nous avons fait. J’ai envie de tuer, Meiryô.
- Encore ? souffla le jeune homme.
- Pourquoi pas ? Nous sommes mauvais jusqu’à la moelle, Meiryô. Même Emu. »
Meiryô resserra sa prise sur le corps fin de son aimée. Il se demanda vaguement ce que cette dernière sentence avait à voir avec le sujet de conversation.
Mirai, elle, parut réfléchir un moment.
« - Mais ça pourrait changer avec la génération future, admit-elle. Maintenant que nous avons accompli notre tache, ils devraient aller en s’adoucissant. »
Meiryô sourit. D’accord. C’était ça. Elle y repensait encore. Mirai était moins insensible qu’elle ne voulait bien le penser.



La journée était calme. Mirai ne semblait pas d’humeur belliqueuse, aujourd’hui. Elle le laissa même faire alors qu’il passait la main dans ses cheveux, doucement. Il aimait caresser ses cheveux. Ça amusait souvent Mirai, qui adorait le taquiner avec ça.
« - Enfin, Meiryô, tu as peur qu’ils déteignent ? souffla-t-elle. »
Mais le cœur n’y était pas. Meiryô fronça les sourcils.
« - Il se passe quelque chose ? demanda-t-il.
- Pas encore. »
Mirai poussa un soupir mélancolique.
« - C’est lui ? demanda Meiryô.
- Hm ?
- Il vous manque ? »
Mirai leva un sourcil interrogateur.
« - Kyô, expliqua Meiryô. »
Mirai secoua la tête : Kyô ne comptait pas, il n’avait jamais compté.
« - Elle me manque, corrigea-t-elle après un temps de réflexion. Parfois. »
Elle et son sourire sur lequel le monde paraissait reposer.
« - Mais pas aujourd’hui, dit-elle.
- Alors qu’est-ce que vous avez ? »
Mirai ferma les yeux.
« - Rien. Juste… Ce soir, Emu va appeler pour nous annoncer la nouvelle.
- Laquelle ? »
Mirai sourit et plongea ses prunelles cristallines dans celles sombres comme la nuit de Meiryô.
« - Ce sera un garçon, dit-elle. Majinai. Et il causera notre perte à tous. »



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Traduction de la chanson (sans doute approximative par moments ^^") :
Voici la fin de tout espoir
Pour perdre l’enfant, la confiance
Pour en finir avec l’innocence
Pour être quelqu’un comme moi
Voici la naissance de tout espoir
Pour avoir ce que j’ai eu
Cette vie impardonnée
Se terminera sur une naissance

Je ne veux pas me réveiller ce matin
Pour voir une autre rose noire éclose
Lit de mort lentement couvert par la neige

Les anges tombent en premier mais je suis toujours là
Seule comme ils sont attirés
Au ciel ma pièce maîtresse sera finalement chantée

Voici la fin de tout espoir
Pour perdre l’enfant, la confiance
Pour achever toute l’innocence
Pour être quelqu’un comme moi

La biche qui bondit le plus haut est blessée
Et ma blessure est coupée si profondément
Eteint la lumière et laisse moi en finir

Voici la fin de tout espoir
Pour perdre l’enfant, la confiance
Pour achever toute l’innocence
Pour être quelqu’un comme moi
Voici la naissance de tout espoir
Pour avoir ce que j’ai eu
Cette vie impardonnée
Se terminera sur une naissance

Mandylion ( ?) sans visage
Vœu de mort sans une prière
Fin de l’espoir
Fin de l’amour
Fin du temps
Le reste est silence

Mandylion ( ?) sans visage
Vœu de mort sans une prière
Fin de l’espoir
Fin de l’amour
Fin du temps
Le reste est silence

Voici la fin de tout espoir
Pour perdre l’enfant, la confiance
Pour achever toute l’innocence
Pour être quelqu’un comme moi
Voici la naissance de tout espoir
Pour avoir ce que j’ai eu

Voici la fin de tout espoir
Pour perdre l’enfant, la confiance

Fin de tout espoir…

Et le second bonus, sur "My Immortal" d'Evanescence ^^
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Meisai&Emu – Remord ?

Emu se laissa tomber sur un banc, la tête entre les mains. Elle était fatiguée. Ça lui arrivait de plus en plus souvent. Et quand elle était fatiguée, elle ne pouvait plus bloquer ses souvenirs. Et se souvenir la décourageait.
Elle ne voulait pas se souvenir de ce qu’elle avait fait et de ce qu’elle aurait dû faire. Elle ne voulait pas se souvenir de ce qu’elle aurait pu avoir et de ce qu’elle avait gâché.
Plus que tout, elle ne voulait pas se souvenir de lui, de son sourire, de son regard et de son odeur, de toutes ses choses qui avaient fait de lui ce qu’il était…
Le seul homme qui ait jamais compté…



Meisai s’assit près de la fenêtre. On était en mai, il faisait doux, et une brise légère, rafraîchissante, s’infiltrait dans la pièce.
C’était un temps qu’Emu aurait aimé. Akito aussi.
Meisai grimaça. Il pensait beaucoup à Akito, ces derniers temps. Peut-être parce que ça faisait bientôt dix ans, dix ans qu’il l’avait rencontrée, dix ans qu’il l’avait aimée, dix ans qu’il l’avait quittée.
Dix ans qu’elle avait changé sa vie.



C’était un peu injuste, tout de même. Meisai aussi comptait, il comptait même beaucoup. Sans lui, elle ne savait pas trop ce qu’elle serait devenue.
Une épave à la dérive, peut-être.
Les autres avaient su faire semblant à la perfection, mais elle, elle n’avait pas joué, jamais. Elle l’avait vraiment aimé, ce jeune homme aux cheveux gris et aux yeux violets, et aux traits si délicats, presque féminins…



Une goutte de pluie glissa le long du mur, jusqu’au plancher. Il commençait à pleuvoir, et il y avait du vent. Il aurait dû se lever et fermer la fenêtre.
Mais avant, il voulait profiter encore un peu de ses souvenirs.
Encore un peu de l’évocation d’Akito…
Il se demandait souvent ce que la jeune femme était devenue. Il aurait pu demander à Mirai, bien sûr, mais chaque fois, une étrange répugnance l’arrêtait.
Peut-être la peur d’apprendre qu’elle allait mal. Qu’elle était morte.
Peut-être la peur d’apprendre qu’elle était heureuse avec un autre.
Qu’elle l’avait oublié.



Meisai aussi l’avait aimée, Akito. Lui non plus il n’avait pas joué la comédie. C’était sans doute pour ça qu’ils étaient si bien ensembles, tous les deux.
Ils se ressemblaient, malgré tout. Ils se ressemblaient beaucoup.



C’était peut-être cette même peur qui retenait Emu. Emu…
Il pleuvait vraiment, maintenant, Emu serait trempée en rentrant. Meisai se leva lentement, fit du feu, alla chercher une serviette épaisse et la posa près de l’âtre. Pour la chauffer. Ce serait plus agréable.
Puis il s’installa dans un fauteuil, devant la cheminée, ferma les yeux et attendit.



Emu frémit et se leva. Elle ne pouvait pas rester comme ça sous la pluie, ça ne ferait pas plaisir à Meisai. Et Emu voulait faire plaisir à Meisai, au moins de temps en temps.
Au moins ce soir.
Elle était tout de même trempée quand elle rentra enfin. Meisai était assis dans le salon, près du feu, et la jeune fille se demanda un moment s’il avait fait du feu exprès.
Le jeune homme releva légèrement la tête, la vit, et sourit. Et Emu ne put s’empêcher de sourire, elle aussi.
Meisai se leva lentement, attrapa quelque chose, et Emu se retrouva enveloppée dans une épaisse serviette. Chaude. Confortable. La jeune femme sourit et se frotta doucement les bras.
« - Merci, dit-elle. »
Meisai hocha discrètement la tête.



Meisai monta lentement les escaliers. Chercher quelque chose, du sirop, parce que déjà, Emu n’allait pas fort, et alors en plus, si elle était trempée, elle allait en avoir besoin.
Le jeune homme ne prit pas la peine de se demander pourquoi il faisait tout ça. Il le savait déjà, au fond.
Parce que sa vie avec Emu, c’était tout ce qui leur restait à tous les deux, et qu’ils faisaient de leur mieux pour la remplir de douceur et de paix, cette simple coexistence.



Emu laissa retomber le combiné. Les mots résonnaient à ses oreilles, prenant peu à peu leur sens. C’était incroyable et elle avait du mal à comprendre, vraiment.
Elle…
Le pas de Meisai résonna dans les escaliers, faisant craquer presque chaque marche. Chaque marche, sauf les deux dernières.
Emu se tourna vers celui qui partageait sa vie.
Elle était…
Elle ne savait pas s’il fallait en rire ou en pleurer, ou rien de tout cela.
« - Je suis enceinte, dit-elle doucement. »

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Traduction de la chanson :
Je suis si fatiguée d’être ici
Refoulée par toutes mes peurs enfantines
Si tu dois partir
J’aimerais que tu partes simplement
Car ta présence subsiste ici
Et elle ne veut pas me laisser seule

Ces blessures ne semblent pas vouloir guérir
Cette douleur est bien trop forte
Il y a juste trop de choses que le temps ne peut pas effacer

Quand tu pleurais j’essuyais toutes tes larmes
Quand tu criais je combattais toutes tes peurs
J’ai tenu ta main à travers toutes ces années
Mais tu as encore tout de moi

Tu me captivais
Par ta lumière résonnante
Maintenant je suis liée par la vie que tu as laissé derrière
Ton visage hante mes rêves autrefois plaisants
Ta voix chasse toute ma raison

Ces blessures ne semblent pas vouloir guérir
Cette douleur est bien trop forte
Il y a juste trop de choses que le temps ne peut pas effacer

Quand tu pleurais j’essuyais toutes tes larmes
Quand tu criais je combattais toutes tes peurs
J’ai tenu ta main à travers toutes ces années
Mais tu as encore tout de moi

J’ai essayé si fort de me dire que tu étais parti
Mais même quant tu restais avec moi
J’ai toujours été seule

Ces blessures ne semblent pas vouloir guérir
Cette douleur est bien trop forte
Il y a juste trop de choses que le temps ne peut pas effacer

Quand tu pleurais j’essuyais toutes tes larmes
Quand tu criais je combattais toutes tes peurs
J’ai tenu ta main à travers toutes ces années
Mais tu as encore tout de moi

...
Je ne sais pas quoi dire...
Je crois que j'ai encore plus préféré ces deux bonus à toute ta fic...
On ressent bien l'humanité des persos, leurs rêves, leurs souvenirs, leurs regrets... leurs remords.
C'est vraiment très émouvant. Mirai est beaucoup moins détestable que d'habitude. Meryô est chou en "amant haï" (je sais jamais comment le dire... en tout cas j'adore ce couple "je t'aime, je te hais... aime-moi, tue-moi...").
Et puis je trouve que ça ouvre de nouvelles perspectives et que ça colle très bien comme suite de la fic. Car à un moment Mirai avait dit "ce sera Meisai et Emu qui causeront notre perte". Et là... voir ces deux persos vivre et évoluer ensemble tout en étant ailleurs et avoir un enfant qui justement est celui du malheur... c'est... snifant TT.TT
J'espère juste que ça annonce la suite de cette fic, non ? Hein ? S'il te plait, s'il te plait, s'il te plait, s'il te plait !! é.è
Sukis !^^
Et continue Lie-chan ! C'est super ce que tu fais^^!

Aaaaaaaaaaaaaaaaaah ! T_T

D'abord l'épilogue : c'est si triste que l'un des voeux les plus chers de Tohru se réalisent après sa mort... Elle aurait été si heureuse de voir Yuki et Kyo ainsi T_T Rah c'est trop triste !!! >___<

Premier bonus : Mirai et Meiryô... J'adore leur relation, mais... Je n'arrive vraiment pas à apprécier Mirai XD Je la déteste vraiment ! D'accord, tu fais ressortir un peu d'humanité, mais non XD Je peux pas, j'ai du mal avec les trahisons, surtout aussi intenses mdrr Néanmoins j'adore Meiryô ^^

Deuxième bonus : Moui, c'était logique pour Meisai et Emu... Mais je suis triste, j'aimais beaucoup Yuki/Emu ToT Mais on ne sait pas si Yuki l'aimait encore un peu, si il pense à elle de temps en temps...
Meisai et Emu font un couple très... "normal" par rapport au couple Mirai/Meiryô XD Mais on ne sent pas d'amour entre eux, juste de la reconnaissance et un besoin d'affection... C'est si dommage pour eux ToT

Les paroles des chansons collent parfaitement ^^ (mais je ne connais que celle d'Evanescence ^^')

Bon bah voilà, cette fic est vraiment sublime *O* Je me doutais un peu pour Mirai et elle, je ne voyais pas qui cela pouvait être d'autre (un nouveau personnage ? non, je ne voyais pas l'interet de parler d'un nouveau personnage comme ça, juste à la fin >_<)

Je me demandais... Comment est ce que l'idée d'introduire des gens pour trahir les Soma t'es venue pour faire une fic ? C'est franchement tordu, non ? XD (réponse : il suffit de faire preuve de sadisme lol)

Merci beaucoup pour cette intense lecture Allie ^^Tu es vraiment quelqu'un de très doué pour l'écriture ^__^

Bisous ^^

C'est vraiment trop émouvant ! TT.TT
J'adore la nostalgie qui se dégage des deux bonus, Mirai qui regrette Tohru sans vouloir l'admettre, la relation qu'elle a avec Meryo, Emu et Meisai enfermés dans leurs souvenirs et se réconfortant mutuellement.
En fait, je crois que je préfère le 2e bonus, ce couple qui ne s'aiment pas, mais sont si proches pourtant... il m'a beaucoup touché. Et moi aussi je veux une suiiiite! Avec Majinai, l'enfant du malheur. Ca sonne bien, non?

Alea>>>... (je ne sais pas quoi répondre >_<)
merci beaucoup ^^
mais mais mais... pourquoi nécessairement détester Mirai ? é_è
^^ Mirai l'avait dit plusieurs fois, d'ailleurs
... pourquoi l'enfant du malheur ? XD

Lizou>>>*tapote dans le dos de Lizou*
mais... d'une certaine façon, ça prouve qu'ils tenaient tellement à Tohru que son influence est restée même après sa mort ^^ c'est pas triste, ça ? (si ? XD)
premier bonus : remarque que c'est souvent pareil avec les trahisons XD quand c'est un gentil qui trahit un autre gentil, il est méchant ; quand c'est un méchant qui trahit un méchant, il est gentil, soudain ^^"
enfin, je suis contente que tu aimes Meiryô ^^ *un sur deux*
deuxième bonus : on ne sait pas encore, mais on le saura dans la suite, forcément (oh, au moins une qui aimait Yun/Emu T_T y en a qui la trouvait trop cruche T__T)

effectivement, pour "elle", ça n'aurait eu aucun intérêt que ce soit un personnage inconnu ; par contre, tout le monde était tellement persuadé que c'était Mirai que j'ai failli changer au dernier moment, rien que pour les embêter XD
parce que deux personnes pouvaient être "elle", à la base : Mirai et Aurore. XD si, si, Aurore pouvait être elle. Mais personne n'y a pensé. bouh T_T

l'idée, euh... je ne sais pas trop XD j'en avait marre de briser la malédiction à chaque fois je crois ^^"
*c'est vrai : c'est tordu*

merci à toi pour m'avoir suivie ^o^

Onyx>>>*mais arrêtez de pleurer, tous >_< je vais me sentir coupable après >o<*
voui, pour moi c'était évident que Meisai et Emu finiraient comme ça ^^
(tant mieux pour eux, en fait)
(mais pourquoi l'enfant du malheur ? où est-ce que j'ai parlé d'un enfant du malheur ? XD)