KOSEIIN (membre (de la famille…)
3 ans plus tard
_ Marre ! j’en est assez !
Une jeune femme se retourna d’un coup, quittant ses papiers à remplir, son chignon bougea un peu sans se défaire. Le crie venait de retentir de la chambre d’Akatsuki, cette dernière descendait les marches de l’escaliers en faisant claquer ses pieds contre les marches, elle brandissait son portable d’un air rageur ses yeux sombre lançaient des éclairs et ses cheveux, dorés, volaient dans son dos tel un voile entremêlée. Elle était belle et le savait, ses habits étaient composés d’un haut marrons moulant laissant son ventre visible, une jupe vert émeraude avec de très hautes chaussettes blanches juste en dessous. Ses bras nus couvert de bracelets de perles fait mains étaient plus forts qu’ils ne le semblaient, ses chaussons blancs se retrouvèrent d’un seul coup sur le mur, envoyé par des coups de pieds rageur de la fille. La femme connaissait cette attitude qui était plutôt courante et troublait, assez subitement, le calme ambiant du lieu :
_ tout d’abord tu ramasse ses chaussons et tu te calme ! la réprimanda t elle, ensuite tu viens t’asseoir sur le fauteuil et tu m’explique
L’enfant lui lança un regard glacial mais se résigna d’un coup en croisant celui de sa cousine, dont les yeux vert pale, semblaient luire d’autorité. Elle alla donc s’asseoir, non sans bruit, sur le fauteuil de cuir, appuya son dos contre le dossier frais et expliqua calmement :
_ kosuke m’a quitter, il vient de m’envoyer un message
Elle leva son portable pour preuve et poursuivit inutilement ce que sa cousine savait déjà :
_ j’ai refuser d’aller au ciné, j’ai pas voulue voir un film chez lui et la fête sous les lampions non plus…pourtant ça à tenue si longtemps cette fois ci que je pensais que c’était…bon…
Elle serra ses genou dans ses mains et y cacha sa tête, pleurant doucement mouillant ses joue blanche, son téléphone glissa et tomba sur le sol carrelé. La femme le prit et consulta le message :
« slt aka-chan je croi que je doi casser avec toi. On est pa sur la meme longeur donde toi et moi. Dsl, kosuke »
Elle ferma le sms et vit la longue liste de sa cousine, aucun de ses garçons ne restaient avec elle, ce n’était pourtant pas sa faute, elle était belle et personne ne restait plus de 2 semaines en couple. Elle l’a prit dans ses bras pour la calmer, de la cuisine une petite tête avec des cheveux beiges et des yeux gris les regardait par l’entrebâillement de la cuisine, le petit garçon disparut dans la pièce et revint en portant avec précaution un plateau en métal avec des gâteaux et un verre de lait. Il s’approcha d’Akatsuki et lui tendit son butin en souriant gentiment, montrant des signe d’inquiétude dans le regard comme si sa cousine était malade. Elle prit le plateau, se remit droite et caressa la tête de l’enfant qui lui sourit :
_ allez Aka-chan tu n’as juste pas encore trouvée le bon, ça viendra !
La jeune fille saisie un gâteau et croqua dedans à pleine dent en déclarant :
_ message reçue ! merci Ametsu, merci Kumo !
Elle vida son verre d’une traite et leur sourit, quelques larmes encore accroché à ces sourcils, on sentait tout de même une certaine déception. Sa cousine retourna à son bureau et défit son chignon, ses cheveux verts foncé retombèrent en cascades sur son dos couvert d’une veste grise, ses vêtements s’harmonisaient avec le vert si pâle de ses yeux, elle avait beau être strict elle savait se montrer aimante et responsable avec Kumo et Akatsuki, seul adulte auprès d’eux elle s’acquittait de sa tâche sans la rechigner. Les caractères de ses deux protégés étaient certes fortement éloigné mais on sentait facilement qu’ils étaient étroitement liés, le petit Kumo avait perdu la parole depuis maintenant 2 ans mais son éternelle sourire savait réchauffer les cœurs glacé en le voyant elles pouvaient facilement voir qu’un enfant innocent souffrait bien plus qu’elles deux. Akatsuki se répugnait elle même, sa façon « étrange » de réagir avec certaines lumières la gênait, son corps parfait attiraient bon nombre de garçon, mais à chaque fois qu’elle devait se résoudre à les laisser aller au cinéma seul ou à d’autre endroit un peu spéciaux, plus romantiques, elle savait que des le lendemain ou quelques jours plus tard ce serait fini…mais il valait mieux ça que d’apprendre qu’il sortait avec un labrador…
Elle soupira et demanda à Ametsu :
_ dit moi, combien de temps encore serons nous seul ?
Ametsu fuya son regard et lui répondit, les yeux fixés sur une plante verte :
_ bientôt je le sais, ils commencent à venir, ils ne peuvent plus se résigner maintenant…
_ faudra un peu de temps encore ? je veux pas être désagréable mais quand j’suis arrivé y’a 3 ans je m’attendais pas à vous trouver que tout les deux !
Ametsu grimaça, elle commençait à s’énerver et cela était compréhensible après 3 ans d’attente, mais désormais la femme savait qu’ils venaient, plus rien ne les retenaient :
_ ce sera cette année ou rien Aka-chan, conclue t elle
Kumo les regarda de ses grand yeux gris et s’assit sur le sol, du haut de ces 6 ans il ne comprenait pas encore tout à fait ce qui se passait autour de lui, il vivait dans un monde à lui, il aimait bien Akatsuki, elle le faisait rire même si il ne comprenait pas toujours pourquoi elle pleurait penchée sur son portable, mais elle était gentille avec lui ils jouaient souvent ensemble…il eu honte de se l’avouer, mais ne pas vivre qu’avec Ametsu le changeait, lui aussi attendait ce moment où cette grande maison vide deviendrait animé, vivante et où ils pourrait jouer avec d’autre gens. Il esquissa un petit sourire et prit un carnet ou il s’appliqua à écrire :
« je part un moment »
Il montra le papier à ses cousines qui acceptèrent avec peines, le retenir à l’intérieur serait égoïste. L’enfant passa le pas de la porte et sortit dans l’air rafraîchissant de la rue.
« _ Akito…
_Approche Yuki, vient prés de moi ma petite souris… »
_ Yuki - kun à quoi pense tu ?
Le garçon regarda son cousin dans les yeux, Shigure avait cet air pervers qu’il lui connaissait et cela le répugna, si on avait plus le droit de se souvenir d’une chose à présent :
_ à rien Shigure lâche moi !
_ tu es précoce tu pense déjà à toutes ces magnifique jeune filles en fleurs qui t’attendrons à la rentrée ? aaaaaaah je te comprend vous les jeunes, vous vivez dans un monde splendide les portes de l’interdits vous sont ouverte et tu vient de t’engager sur cette voix…
Un coup de poing accueilli sa remarque, la souris le laissa à terre et entreprit d’aider Tohru à débarrasser le repas, il passa devant la cour et vit Kyo en train de s’entraîner. Le rouquin enchaînait les coup dans l’air, des gouttes de sueur coulaient sur son front mais il n’arrêta pas, jusqu’à ce que Tohru l’appela :
_ euh…Kyo-kun, vous voulez nous accompagnez faire des courses ?
Le garçon la regarda, « nous » ? avec le sale rat encore et toujours…pourtant pour elle il pouvait bien le supporter un peu, il accepta en grognant et la jeune fille eu un radieux sourire, le vent souffla un peu et elle le remercia en retournant dans la maison finir sa vaisselle, elle vit Yuki et se rappela de l’air pensive qu’il venait d’avoir à l’instant :
_ merci pour votre aide Yuki - kun, vous aviez l’air contrarié est ce quelque chose ne va pas ?
Le garçon au cheveux gris lui lança un regard chaleureux :
_ rien de grave Honda-san ne vous en faites pas, baka neko vient avec nous ?
_ oui, commença Tohru
Un cri venant de l’intérieur l’interrompue et Kyo surgit d’un coup dans la cuisine, pointa le doigt en direction de son cousin et hurla :
_ Ferme la k’so nezumi ! on parle pas des gens comme ça !
_ des gens non mais de toi, si…
_ T’est mort femmelette…
Kyo se jeta sur Yuki qui s’écarta et l’attrapa par le col, il lui donna un coup dans le dos et le chat s’effondra sur le sol en grinçant des dents, Tohru se précipita à sa rencontre mais le garçon n’avait rien, sauf au moral :
_ jeunes gens, jeunes gens, pas de violence ce n’est pas bien, déclara Shigure d’un air conspirateur
_ Shigure-san à raison il ne faut pas se battre comme ça, confirma l’adolescente, allons faire nos courses !
Ils partirent l’instant d’après dans la rue, Tohru entre les deux garçons, la rue étaient presque vide et le silence régnait entre eux, la jeune fille se sentit gênée mais se rassura en se disant qu’au moins, ils ne se battaient plus. Rien ne la peinait plus que leur continuelle querelles, toujours les mêmes qui revenaient sans cesse. Kyo fixait le paysage vide devant lui, rien à regarder mis à part les feuilles qui se détachaient quelques fois des branches des arbres, pourtant il se sentait bien puisqu’elle était là, tout prés de lui, leur mains s’effleuraient même à certains moments, il se sentait bête et voulait lancer un sujet de conversations, quelque chose qui ferait apparaître sur son visage un de ses beau sourires qui lui réchauffait le cœur.
Yuki marchait doucement la tête vide, il se sentait bien mais conscient de déranger son cousin, ce n’était pas sa faute pourtant si il avait pris l’habitude d’accompagner Tohru faire les courses…et dans un certain sens il savait que de toute façon aucun des deux n’aurait ouvert la bouche, il ferma les yeux et laissa un vent frais lui rafraîchir le visage, quand il rouvrit les paupière il vit un enfant qui marchait d’un air absent et dans leur direction, il avait des cheveux beige des yeux gris, le même gris que les cheveux de Yuki, l’enfant ne vit pas la racine d’un arbre qui dépassait du sol et il tomba lourdement sur le sol. Il se frotta le genoux, mais serra les dent car ses mains étaient légèrement écorchés, sans réfléchir Yuki accéléra le pas et se pencha au-dessus de lui :
_ tu n’as rien ? demanda t il inquiet
Le petit garçon ouvrit de grand yeux apeurés, comme un agneau devant un loup, l’adolescent ne comprenait pas la raison d’une telle réaction et lui tendit la main pour l’aider à se relever, le petit enfant, la même peur et crainte sur le visage, leva timidement un bras tremblant mais lorsque que celui ci atteignit les doigt de Yuki et qu’il commençait à les resserrer doucement pour le relever, il enleva brutalement le bras, se leva et recula de frayeur avant de s’enfuir en courant. Yuki se releva incrédule et observa sa silhouette disparaître à l’angle d’une rue, il se retourna vers son cousin et Tohru et vit la même expression de peur sur leur visages, il leur demanda ce qui se passait :
_ Yuki-kun que faisiez vous ? demanda Tohru
_ j’ai juste essayer d’aider cet enfant, je ne comprend pas ce qui l’a effrayé à ce point…
_ eh le rat, dit Kyo d’une voix forte, qu’est ce que tu raconte ?
_ comment ça ? demanda Yuki d’un ton de reproche
_ y’avait personne ici, déclara Kyo, la rue est et est resté vide
Kumo courait dans la rue jusqu’à atteindre sa maison, son cœur battant fort et vite mais arrivé sur le pas de la porte il vit deux personne, parfaitement identiques devant ses cousines :
_ HELLO EVERY BODY ! clamèrent ils
_ pardon ? demanda Akatsuki, qui êtes vous ?
_ I am Umi and it’s my brother Sora, continua l’un des deux inconnus
Ametsu prit les chose en main et désigna Kumo qui les regardait toujours :
_ que voyez vous la ?
Les deux jumeaux suivirent son gestes, Sora caressa gentiment la tête de Kumo en disant :
_ it’s a very cute boy Miss
Le visage de la femme s’éclaira d’un brillant sourire et elle désigna les deux nouveau arrivant à sa cousine et à son cousin qui venait de se réfugier dans ses bras:
_ voici donc deux membres de notre familles qui viennent d’arriver…
_ Sora and
_ Umi.
A SUIVRE
voila la c mon chapitre n_n maintenant s'il vous plait dites ce que vous en pensez é_è