Dépendance [explicit content]

Voilà ma seconde fic yaoi ^^
Attention fin au contenu assez explicite ! : La fin sera assez lime donc je l'enverrai par MP à celles qui le désirent, selon les conseils de Meno-chan (merchi ^-^ !)
Sinon, j 'espère que cette fic vous plaira ^__^

Disclaimer : Mes persos, dommage pour eux XD

Dépendance

Chapitre I

Le vent était doux, les nuages nombreux et le soleil déjà haut sur l'horizon.
Le parc était désert, en cette matinée de début de printemps, à l'exception d'un jeune homme assis sur un banc.
Le jour n'était pas levé depuis longtemps, une heure tout au plus, et Gabriel profitait de cette solitude pour observer la simplicité qui l'entourait. Une feuille emportée par le vent, un oiseau rejoingnant son nid, tout cela lui semblait si innocent et si vrai face aux veines complications qu’entraînait sa vie de jeune adulte. Bien sûr, il savait pertinemment que cela n’était rien en comparaison de ce qu’il rencontrerait lorsqu’il finirait ses études. Mais, plus encore que durant son adolescence, Gabriel appréciait chaque seconde qui le coupait du rythme effréné de ses cours et ces quinzes jours d’interruption étaient pour lui une bénédiction.
Il se leva et ramassa son sac qu’il avait abandonné sur la pelouse fraîchement tondue.
En arrivant dans le parc, la première chose qu’il avait faîte, en ce premier dimanche de vacances, avait été de s’allonger dans l’herbe sans se soucier de la rosée qui atteignait ses vêtements.
- Salut
Gabriel était encore debout, son sac à dos à la main, lorsqu’il se retourna. Le visage lui semblait familier mais il se contenta d’un léger hôchement de tête.
- C’est vrai que nous ne nous sommes jamais parlés. Je suis à l’ESSM (Etudes Supérieurs des Sciences et Mathématiques) en 2ème année, comme toi, mais en section physique. Je m’appelle Frédéric. Toi, c’est Gabriel, si je ne me trompe pas ?
Effectivement, il se souvenait l’avoir vu à plusieurs reprises dans des classes voisines aux siennes.
- Cela faissait longtemps que je voulais te parler mais je n’ai jamais trouvé le bon moment, continua-t-il.
- Me parler ? s’étonna Gabriel.
Une impression bizarre s’insinuait en lui. Pourtant le jeune homme ne paraissait pas menaçant. Ce Frédéric était légèrement plus petit que lui, il avait les cheveux mi-longs blonds cendrés et un nez fin mais si discret qu’il paraissait plus jeune qu’il ne l’était.
- Ca ne te dérange pas si on marche quelques instants ? demanda Frédéric.
- Non, pas du tout, lui répondit-il.
Le parc se situant un peu à l’extérieur de la ville, la tranquilité y régnait comme chaque matin où il y était venu.
- Quel calme reposant, n’est-ce pas ? Je crois que j’ai vraiment choisi le bon endroit pour ça, déclara-t-il.
Gabriel commençait à trouver ce jeune homme étrange.
- Qu’entends-tu pas ça ? Et que voulais-tu me dire ? demanda-t-il soudain méfiant.
Arrivant près d’un chêne imposant, Frédéric quitta le chemin de graviers et s’approcha de l’arbre. Gabriel le suivit.
- Cela fait plusieurs mois que je t’observe attentivement, déclara le jeune homme.
- Qu...
Avant de pouvoir en dire plus, Frédéric lui attrapa les poignets et l’obligea à se retrouver le dos contre le tronc du chêne. Ce jeune homme faisait preuve d’une force inattendue par rapport à son gabarit.
- Qu’est-ce qui te prend ? Lâche-moi ! cria Gabriel.
- Je t’ai observé jour après jour, continua-t-il, j’ai observé chacun de tes mouvements, chacun de tes gestes inconscients comme lorsque tu passes négligemment tes doigts dans tes longs cheveux noirs ou que tu souris discrètement lorsque tu contemples tes camarades de classes lancés dans une joute verbales. Je t’ai vu certaines fois concentré sur tes cours et d’autres fois le regard errant à travers la classe comme-ci tout te paraissait sans intérêt. As-tu conscience de l’envoûtement que peut provoquer chacune de tes actions ? Non, je ne crois pas et c’est cela qui te donne tout ton charme.
Il approcha son visage de celui de Gabriel tout en maintenant toujours aussi fermement ses poignets.
- Arrêtes ça tout de suite ! lâche-moi espèce de malade ! Sinon tu le regretteras menaça Gabriel.
- Et qui m’empêchera de faire ce que je veux ? Je suis plus fort que toi. Et puis, il n’y a personne autour de nous. Tu peux essayer d’appeler à l’aide si cela te fais plaisir, peut-être te trouvrais-je plus attirant encore !
Gabriel essayait de lui échapper mais rien n’y faisait, son étreinte était trop puissante.
- Je vais enfin pouvoir faire ce dont je rêvais depuis des semaines...
Non, ce n’était pas réel, se disait-il, ça ne lui arrivait pas à lui, c’était un cauchemar et il allait se réveiller.
Mais tout était bien vrai. Le corps du jeune homme frissonnait contre celui de Gabriel et il l’embrassait sauvagement. Frédéric prolongeait ce baiser avec insistance l’obligeant à y réagir.
Lorsque cela s’interrompit Gabriel resta tétanisé.
- Mmmh... Ce fût encore plus doux que je ne l’eus espéré, lâcha Frédéric tout en libérant le jeune homme de son étreinte.
A peine ses poignés étaient-ils libres, qu’il essaya de frapper son agresseur. Mais ce dernier para le coup facilement.
- Ce n’est pas bien d’essayer de me faire du mal, tu ne voudrais pas gâcher la magie de ce baiser mémorable ? Pour la première fois que j’embrasse un homme, j’ai trouvé cela particulièrement intéressant. Bon, je vais devoir te laisser.
- Tu crois que je vais te laisser t’en tirer comme ça ? Après ce que tu viens d’oser me faire ? dit-il à Frédéric.
Il se jeta sur le jeune homme qui s’était déjà éloigné de quelques pas. Son adversaire l’envoya au sol en un instant.
- Je t’avais prévenu. Là je dois vraiment y aller, alors à bientôt, mon beau Gabriel.
Il essaya de se relever mais sans succès, le coup que lui avait donné Frédéric avait était trop violent. Il se contenta seulement d‘observer avec rage la silhouette qui s’éloignait.
Peu à peu sa colère se transforma en néant et, lorsqu’il put enfin se mettre debout, il ramassa son sac et quitta le parc. Arrivé à son appartement, Gabriel s’allongea sur son lit tandis que son état de totale hébétude laissait place à la réflexion. Que pouvait-il faire ? Porter plainte contre ce malade ? Et que dirait-il à la poice ? Qu’un jeune homme de son école l’avait embrassé de force ? Non. Quelles humilation ce serait ; il entendait déjà les moqueries qu’il subirait. La meilleure solution était encore de régler cette affaire lui-même. « A bientôt », avait osé lui dire ce malade ? Eh bien, la prochaine fois qu’il le verrait, se disait-il, il lui ferait payer cet affront.
Mais malgré tout Gabriel se sentait sali, comme s’il venait d’être violé ? Ce Frédéric lui avait infligé une blessure qui, il le pressentait, jamais ne se refermerait. Car, même si cela l’avait pris par surprise, il n’avait pas réussi à se défendre et en avait ressenti la plus grande honte de sa vie.

A suivre...

Voilà, premier chapitre (assez court ^^') La suite ?

hihi content de le voir des maintenant kokoroyume
ma premiere reaction c'est mais quel pervers ce frédéric enfin c'est tres bien
j'ai hate de lire la suite
et merci beaucoup de ta comprehension ^___^

YAOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

bon, ca commence pas mal, meme si je n'aimerais pas etre a la place de ce pauvre Gabriel...
enfin Frederic dit que c'est la premiere fois qu'il embrasse un homme... pour une premiere fois, il y va fort XD
bref, vivement la suite ^^ (et moi je la veux, la fin par MP XD)

*o*
Mwa aussi je voudrais la fin XD
En tout cas, j'aime beaucoup ^o^
*veux la suite*

Merci à toutes La suite ne tardera pas ^^

Du yaoi! *.*
Hehe ça promet!
Pareil, je veux la fin XDDDDD
Vivement la suite! ^^

Merci à toutes ^________^ !!!
Je suis contente que cette fic (que j'apprécie de moins en moins à chaque lecture en fait ^^') vous plaise !
Voilà la suite ^^

Chapitre II

Quelques jours passèrent durant lesquels une terrible angoisse le tenailla. Mais, au fur et à mesure que le temps passait, les évènements qu’il avait vécus lui semblaient de plus en plus irréels.

Il avait été engagé pour son congé de Pâques dans une petite entreprise commerciale et ses collègues l’appréciaient déjà beaucoup. Sa vie avait gardé son cours normal, à part sur un point : il s’était interdit de remettre les pieds dans ce parc qui avait été le théâtre de son agression. Pourtant la perte de ce coin de paradis ne le dérangeait pas tant que ça car il avait une autre passion qui lui procurait autant de calme que la nature.
C’était la natation.
Depuis plusieurs années déjà, Gabriel y consacrait au moins une heure par semaine. Le jeune homme était d’ailleurs devenu un excellent nageur. Lorsqu’il se retrouvait dans l’eau, il était envahi par une telle sérénité que rien ne pouvait le perturber et que tout ses fardeaux semblaient s’évaporer.
La piscine était plus fréquentée durant les vacances mais cela ne le dérangeait pas . Tant qu’il pouvait exécuter facilement ses longeurs, il savait faire abstraction de tout le reste. Mais ce vendredi était une journée trop chaude pour un mois d’avril et la foule qui s’amassait dans le bassin devenait étouffante.
Gabriel entama sa dernière longueur et frôla une personne ; il n’y prêta pas attention.
Peu avant d’arriver au bout de la piscine, il sentit une main passer sur sa jambe puis son torse. Le jeune homme sortit brutalement la tête de l’eau pour observer les alentours.
Soudain une main lui attrapa le poignet. Il se retourna violemment vers l’individu qui le tenait.
Non, se disait-il, ce n’était pas possible. C’était lui. Il se tenait là, lui souriant, le narguant.
- Bonjour Gabriel ! Comment vas-tu ?
- Attends un peu, tu vas voir ! répondit-il sèchement.
Il lança alors son poing vers le visage de Frédéric. En un instant, son second poignet était bloqué.
- Tu m’en veux encore pour la dernière fois, mon mignon ? lui dit Frédéric d’une voix faussement coupable.
- Lâche-moi espèce de dérangé !
Le jeune homme approcha son visage de celui de son prisonnier. Son coeur se mit à battre furieusement et il commença à trembler.
- Tu me plais plus encore dans cette tenue ... , lui susurra-t-il à l’oreille.
Il voulut se débattre mais ce Frédéric était toujours aussi fort.
- Lâche-moi connard ! cria-t-il.
Il fut instantanément libéré.
- Quelque chose ne vas pas ?
Un des maîtres nageurs l’avait apparemment entendu malgré le vacarme qui régnait tout autour.
- Non, tout va bien monsieur, répondit Frédéric.
- Tout va bien alors ? insista l’homme à l’attention de Gabriel.
Il ne répondit pas immédiatement mais, choisissant d’éviter un scandale, il lui confirma que tout allait pour le mieux.
Dès que ce dernier s’éloigna, le jeune homme sortit rapidement de l’eau sans regarder en arrière.
Il était pourtant décidé à s’occuper de cette affaire mais de manière plus discrète. Et puis, cette fois encore, il avait été tellement surpris qu’il n’avait pas pu réagir en conséquence. Gabriel se contenta d’une douche rapide pour évacuer le chlore de sa peau et prit tout aussi vite ses affaires dans son casier.
Au moment où il allait refermer la porte de sa cabine, une main l‘en empêcha. Frédéric entra et referma la porte derrière lui.
- Tu es allé beaucoup trop loin..., déclara Gabriel avant de lui envoyer son poing dans la figure.
Il s‘affala contre la porte un instant puis se redressa.
- Soulagé? Je l‘espère parce que c‘est à mon tour.
Frédéric se jeta sur lui et pressa sa main sur sa bouche.
- Mon beau et tendre ! Si tu savais à quel point je te veux ! Je n‘ai pas cessé de te suivre depui ce fameux matin où j‘ai enfin pu toucher ta peau, la sentir. Ah ! Tu m‘as envouté!
Le jeune homme ne pouvait plus bouger ; son agresseur pressait son corps contre le sien.
- C‘est inutile de vouloir m‘échapper ! Tu es à moi !
Frédéric lui embrassa tendrement le creux de l‘épaule. Il ôta le main de sa bouche. De l‘adhésif empêchait Gabriel de parler.
- Désolé, mais je ne veux pas qu‘on nous dérange.
Il passa la main dans les longs cheveux noirs de sa proie.
- Mmh... Quel Bonheur !
Il lui embrassait lentement chaque parcelle de son visage, parcourait sa poitrine des doigts tandis qu‘il maintenait fermement ses poignets à l‘aide de sa main libre. Gabriel ne pouvait que subir. Il se faisait abuser et il ne pouvait rien faire. Ce malade était d‘une grande douceur dans ses gestes mais il aurait encore préféré la violence. Car, quand il en aurait fini avec lui, il n‘aurait même pas de preuve pour l‘accuser. C‘était sans issue.
Un desepoir plus profond qu‘il n‘en avait jamais ressenti s‘était installé en lui. Alors, sans qu‘il ne puisse les retenir, les larmes commencèrent à couler sur ses joues.
- Mais ? Tu pleures ? Mon ange... Nous allons en rester là pour aujourd‘hui.
Frédéric lui caressa tendrement la joue.
- A bientôt, mon amour, lui dit-il langoureusement avant de sortir de la cabine.
Les jambes de Gabriel se dérobèrent sous lui. Il se sentait sans force, sans vie. Il pleurait toujours et avait l‘impression d‘être totalement vide.

Le jeune homme resta ainsi, immobile, durant plus d‘une heure. Et quand, il rentra enfin chez lui, il y resta enfermé pendant trois jours. Totalement anéanti dans les premiers moments, il avait fini par choisir une solution claire pour se défendre. La peur était née en lui et l‘avait paralysé. Il voulait s‘en libérer.

Il quitta son appartement. Il ne ferait pas marche arrière ; il avait enfoui ses craintes au fond de lui et s‘était convaincu de les oublier.
Plus qu‘une rue.
On ne trouvait que des habitations dans cette partie de la ville et, seul, à quelques pâtés de maisons, trônait le poste de police salutaire.
Gabriel s‘était définitivement dit que les conséquences ne seraient pas pires que la situation actuelle.
Le jeune homme s‘apprêtait à entrer dans la rue principale de ce vaste quartier peu fréquenté à cette heure matinale. Le poste ne se trouvait plus qu‘à trois cents mètres lorsqu‘il fut tiré à l‘intérieur d‘une maison délabrée.
- Où vas-tu de si bon matin mon tendre amour ?
Non. Non, non, non, non, non... pas encore ! Pourquoi s‘acharnait-il sur lui, pourquoi... ?
Il n‘arrivait pas un prononcer un mot.
- Tu sais, ça me briserait le coeur de devoir révéler ce que tu es vraiment aux élèves et professeurs de notre institut. Et puis, combien de personnes découvriraient ton “vrai“ visage avant que toutes tes “démarches“ n‘aboutissent ?
Toutes les peurs de Gabriel remontaient à la surface, ce qu‘il redoutait depuis ces derniers jours allait arriver : Frédéric le menaçait de répandre de fausse rumeurs qui détruirait sa vie actuel si paisible.
-Pourquoi, bredouilla-t-il pourquoi me fais-tu cela ?
- Je te l’ai déjà dit mon beau, je t‘aime. Regarde-moi.
Frédéric lui attrapa le menton et l’obligea à le regarder dans les yeux.
- Me trouves-tu donc si repoussant ? continua-t-il.
Il l’embrassa et passa son autre main dérrière la nuque de Gabriel.
- Ne suis-je pas doux avec toi ?
Il regarda ce jeune blond aux yeux bleus puis, oubliant toute morale et abaissant toutes ses défenses, il s’abandonna aux baisers et caresses de Frédéric. Il n’avait plus de volonté entre ses mains, ne voulait plus lutter.
- Mon amour, lui souffla Frédéric tout en effleurant son dos de ses doigts, comme j’aime ton corps, comme je t’aime...
Gabriel n’avait plus aucune notion du temps jusqu’au moment où le jeune homme l’embrassa langoureusement et qu’il se surprit à réagir involontairement à ce baiser passionné.
- Ah ! Gabriel, lui dit-il en frôlant ses longs cheveux noirs. Je suis si heureux. Tu es le rêve de ma vie ; je t’appartiens et tu es mien.
Frédéric s’écarta lentement de lui.
- A bientôt mon prince, lui dit-il avec un sourire charmeur.
Il était parti.
Gabriel sortit à son tour. Il n’avait pris aucune décision, ne voulait plus réfléchir. Mais inconsciemment, il avait pourtant fait son choix : se laisser dominer et ne pas voir changer le cours de son existence.

A suivre...

Voilà déjà la fin de ce second chapitre : ) , la suite sera un peu plus romantique ( juste un peu -_-' ) mais mon pauvre Gabriel n'a pas fini de souffrir...
*rien à faire, je trouve ça de plus en plus nul ... -___-*

@_@
Oh la, c'est limite du viol tout ca... c'est pas tres sain comme relation...
Pauvre Gabriel, j'espere vraiment qu'il va trouver un moyen de se sortir de la

La suite ^^

eh ben! o_o
C'est assez horrible (vraiment pas sain comme l'a dit Mogy)
La suite la suite!! ^^

Pas très sain, en effet ^^' ( je crois bien que jusqu'à présent Gabriel soit le perso que j'ai le plus torturé -_-')

Donc voilà la suite ; toujours un peu de lime...

Chapitre III

Une fois de plus, il était dans son appartement. Il s’était affalé le dos contre la porte, plongé dans ses pensées.
L’indifférence, le vide, elles avaient été les seules défenses qu’il avait pu dresser face à l’assaut de Frédéric. Il s’était réfugié dans un coin obscur de son âme durant ces instants. Mais même s’il était à présent seul, il n’en avait pas encore totalement emergé.

Les vacances se terminèrent rapidement et les cours reprirent.
Il ne prêtait plus attention au monde qui l’entourait et se contentait d’accomplir son travail comme un automate.

Dès les premiers jours de la reprise des cours, Frédéric lui adressa d’enjoleurs sourires. Le jeune homme n’y réagit pas et, dans son coeur, nul sentiment, même pas la haine, ne vinrent le troubler. Plus aucun rêve ne l’habitait. Gabriel se contentait de faire ce qu’il devait accomplir.
Il travaillait le week-end dans un restaurant pour payer une partie de ses frais quotidiens, suivait ses cours sans plus aucune passion et avait arrêté la natation. Il passait alors son temps libre, allongé sur son lit, la tête vide de toute pensée.
Un soir, après avoir quitté son travail, Frédéric apparut devant lui.
- Sais-tu à quel point tu me manques ? lui dit le jeune homme aux cheveux mi-longs. Tu as décidé d’abandonner les endroits où nous nous sommes rencontrés. Mais ne t'inquiète pas, ce n’est pas cela qui nous empêchera de nous retrouver seul l’un avec l’autre.
Il enlaça Gabriel puis posa son front contre le sien.
- Suis-moi, lui murmura-t-il avant de le libérer de son étreinte.
Il lui obéit sans même chercher à lui resister.
A quoi bon, se disait-il, il ne lui laissait de tout façon pas le choix. Et puis le laisser maître de son corps n’était-il pas un bien petit sacrifice pour ne pas voir son quotidien s’écrouler ?
Frédéric l’entraîna dans un petit parc isolé où s’épanouissaient chênes, bouleaux et saules pleureurs. Et c’est sous un de ces derniers qu’il fit s’allonger Gabriel avant de lui ôter tendrement sa chemise. Il posa les mains sur son corps et l’embrassa fougueusement.
Etendu dans l’herbe fraîche, le jeune homme voyait son calvaire recommencer tandis que Frédéric se débarassait de sa propre chemise. Son torse toucha celui de Gabriel et il l’embrassa dans le cou en laissant glisser ses doigts dans ses cheveux noirs.
- Si tu savais comme j’aime ton odeur, ta chaleur ! lui souffla-t-il l’oreille.
Il se redressa.
- Viens.
Voyant que le jeune homme ne réagissait pas et ne le regardait même pas, il s’agenouilla près de lui.
- Tu n’as plus la force de te lever ? lui demanda Frédéric. Ce n’est pas grave, je vais t’aider.
Il passa une main derrière le dos de Gabriel, l’autre sous ses cuisses puis le souleva.
Gabriel n’en revenait pas. Cet homme, à l’aspect légèrement androgyne, venait de le porter sans difficulté jusqu’au tronc du saule pleureur !
Il le regarda un instant puis détourna rapidement les yeux.
Frédéric se mit à sa hauteur.
- Gabriel ?
Pas de réponse.
- Gabriel, regarde-moi. As-tu donc si peur de ce que tu verras ? Craindrais-tu de ressentir de l’amour en me regardant ?
De l’amour ? Quelque chose se réveilla en Gabriel.
Comment pouvait-il s’imaginer une telle sottise, se disait-il, la seule chose qu’il éprouvait pour lui était de la haine ! Il avait fermé son coeur aux émotions mais à présent un volcan s’apprêtait à entrer en éruption en lui. Toute sa colère et sa rage s’apprêtaient à se dévider hors de lui.
Il se tourna vers lui, se préparant à l’invectiver comme cela ne lui était encore jamais arrivé. Mais il se contenta d’observer son visage et ses yeux.
- Ah ! Voilà qui est mieux, dit Frédéric en souriant. Tout est vraiment parfait en toi, dit-il tout en le dévorant du regard, on se noierait dans ces yeux bleus d’une profondeur sans fin !
Il caressa tendrement la joue de Gabriel et l’embrassa. Ce dernier s’aperçut soudain qu’il avait placé sa main derrière la nuque de Frédéric et qu’il profitait autant de ce baiser que lui.
Gabriel s’écarta brusquement.
Frédéric lui souriait satisfait.
- N’avais-je pas raison ?
- Je ne t’aime pas, je te hais, lui répondit Gabriel.
- Si tu le dis. Moi, je t’aime alors ça n’a pas d’importance.
Il se pencha vers lui et l’embrassa sur la joue.
- Bonne nuit mon doux ange.
Puis il le quitta.

Dans les jours qui suivirent il tourna et retourna la situation dans tous les sens pour tenter d’y trouver une échappatoire. Refouler ses émotions n’était pas une solution. Il haïssait Frédéric. Pour les menaces qu’il faisait peser sur sa tête, pour les droits qu’il osait prendre sur son corps, pour l’insécurité quasi permanente qu’il ressentait.
Mais en était-ce vraiment ?
Au début, oui mais maintenant il s’agissait d’une autre chose, plus détestable encore que la peur en pareille situation. Les baisers et les caresses de cet homme lui manquaient ! Il le haïssait mais il le désirait ! Non, cela allait trop loin, il fallait que tout cela cesse. Et, seul, il allait tout mettre en oeuvre pour y parvenir.

Une nouvelle semaine de cours débuta.
Les regards et les sourires devenaient de plus en plus oppressants.
Le troisième matin, en entrant dans l’institut, perdu parmi les élèves, Frédéric s’approcha de lui et glissa discrètement sa main sous les vêtements du jeune homme pour caresser sa peau. Gabriel frissonna de plaisir quelques instants. Ayant obtenu la réaction qu’il désirait, Frédéric sourit, s’écarta et s’enfonça dans la foule des élèves.
Une fois de plus Gabriel se sentait manipulé. Cela suffisait.
Dès le premier changement de classe, Gabriel s’arrangea pour frôler le jeune homme et lui glissa un mot dans sa poche.
Il entra dans sa classe et observa Frédéric qui s’installait dans le local voisin.
Ce dernier commença à lire le message de Gabriel :
" Ne m’approche plus. Les conséquences n’ont plus aucune importance pour moi, si tu n’acceptes pas de me laisser en paix, je ferais tout ce qui est possible pour t’empêcher de m’atteindre. Et tu le regretteras. »
Gabriel guetta ses éventuelles réactions mais le jeune blond se contenta de replier le papier et le replaça dans sa poche.

La semaine de Gabriel se déroula sans incident ; il se sentait libéré. Il lui avait suffi de faire preuve d’un instant de courage pour que tout s’arrête.
Il avait repris la natation et ces dernières semaines s’apparentaient, pour lui, à un mauvais rêve. Cela avait été si simple. Il avait retrouvé sa vie ; il était heureux.

Durant les semaines qui suivirent, Gabriel prépara activement ses examens puis les passa avec tout le stress d’un étudiant de son âge. Tout se déroula pour le mieux et, même si certaines branches lui avait donné pas mal de difficultés, il les avaient réussis et allait entamer, après l’été, sa troisième année en bio-chimie.
Il s’était trouvé un travail quotidien chez un fleuriste parallèlement au restaurant où il était serveur le week-end. Son appartement lui avait été offert par sa mère peu avant son décès mais, même s’il avait hérité d’une certaine somme d’argent, il devait subvenir lui-même à ses besoins.
Gabriel avait une soeur jumelle, qui avait aussi un appartement et la moitié de l’héritage, mais il ne la voyait que très rarement. Ils n’avaient jamais été très liés même s’ils s’entendaient bien. De plus, elle vivait dans le monde artistique et son existence n’avait rien de stable tant dans son travail que dans ses amitiés.
Quant à leur père, ils ne l’avaient jamais connu ayant abandonné leur mère avant leur naissance. Il n’avait pas manqué à Gabriel. Sa mère avait toujours était là pour sa soeur et lui.
Cela faisait seulement un an et demi qu’elle avait disparue. Bien sûr, il avait été terriblement malheureux durant les premiers mois mais elle avait toujours voulu qu’il fasse de grandes choses. Il s’était recentré sur ses études pour elle, en sa mémoire.

Le mois de juillet arriva.
Gabriel avait repris ses habitudes, il profitait à nouveau de quelques matinées dans la solitude et allait nager aussi souvent qu’il le pouvait. Pourtant, il n’était plus aussi heureux qu’avant.
Le jeune homme croisa Frédéric à deux reprises mais ce dernier l’ignora totalement. Gabriel ne pouvait espérer meilleure réaction.
Il se souvenait parfois des regards emplis de désir du jeune homme, de ses caresses... Non ! Pourquoi, se demandait-il, cela le hantait-il encore ? Combien de fois déjà de tels souvenirs lui étaient-ils revenus en mémoire ? Oublier. Effacer toutes ces sensations.
Il passait ses soirées à écouter de la musique ou à lire d’éternels romans policiers. Il s’endormait d’ailleurs souvent durant les nuits les plus chaudes, le torse nu, abandonnant son livre ouvert lorsque l’action devenait plus monotone.
Il rêvait. Il se sentait bien mais quelque chose le dérangeait. Oui, il ne pouvait plus bouger.
- ...riel... Gabriel... Gabriel.
Il ouvrit les yeux.
- Bonsoir Gabriel.

A suivre...


Ah, ah... nul -_____-' Bon, je pense que le prochain est un tout petit peu mieux...
*pense sérieusement arrêter le massacre...*

Raaaaaaaaah!!!! mais pourquoi tu coupes ici??? Sadiiiiiiiiiiiique!!!!
Bon, ca commence a devenir mignon, puisque Gabriel ressent enfin une certaine attirance pour Frederic, et que Fred cesse enfin de harceler Gabriel... quoique la derniere phrase me fait me poser des question sur ce dernier point, mais bon...

La suite kokoro-chan!!! vite!!!!

Erf la fin est terriiiible >o<
Nyaaaa vite vite vite la suite!! ><
(heureusement que Gabriel est la perso que tu as le plus torturé, je n'imaginerais pas les autres sinon XDDDD)
Bravo! ^^

MDR
Pauvre Gabriel ¬¬
Il n'a pas de bol ce garçon XD
Par contre, j'aime bien Frederic et sa superbe perversité XD"
Cette fic est très bien ^^
La suite ?

Ma ? Qu'est-ce que je vois ? Je disparaît une semaine et voilà une tonne de lecture ? Yataaa faut que j'aille dévorer tout ça XD
Mais en attendant, voilà toujours le chapitre suivant ^^
>>> Mogyuki : Vi, un peu sadique sur ce coup là XD, t'inquiète pas, voilà toudi suite la réponse à tes questions ^^
>>> Kaya : Merci ^^ ( gomen pour la fin ^^')
>>> KTL : Merchi aussi ^-^ Frédéric, pervers ? Non ? Tu trouves ? XD

Allez, en route ^__^ (Trèèès léger lime...)

Chapitre IV

Frédéric.
- Je suis content. Je te retrouve enfin ! dit-il.
Frédéric lui maintenait les bras contre ses draps.
- Comment oses-tu ? Je te ferais enfermer ! lui assura rageusement Gabriel.
- Je ne suis pas dupe mon cher. J’ai remarqué le désir dans tes yeux à chacune de nos rencontres. Tu me veux autant que je te veux.
- C’est faux, bredouilla-t-il, je... je...
Frédéric passa sa langue dans le cou du jeune homme. Un frisson de plaisir parcourut le corps de Gabriel.
- Refuse-moi, lui souffla-t-il à l’oreille, si tu en as la force...
Il l’embrassa amoureusement tout en relâchant ses poignets pour glisser ses mains dans ses cheveux puis pour caresser son torse et son dos. Chaque nouveau contact avec la peau du jeune homme attisait la passion de Gabriel. Ce dernier effleura doucement de ses doigts la nuque de Frédéric puis s’abandonna, docile, à ses baisers et ses caresses.
De longues minutes passèrent, sans doute, avant que Gabriel ne se retrouve dans les bras du jeune homme blond, la tête posée contre son torse nu et musclé.
- Ta peau est si douce, lui souffla Frédéric avant de lui poser un baiser sur le front. J’aimerais avoir l’infini devant moi pour la parcourir de mes mains.
Gabriel n’avait plus de volonté entre ses mains. Il ne le dirait jamais mais après ces instants, il pensait : « Ta tendresse est un elixir pour moi, je sens déjà la tristesse qui s’empare de mon âme lorsque je songe au moment où tu me quitteras. »
Frédéric s’écarta et se leva. Ses pensées resteraient imprononcées.
- Nous nous reverrons bientôt, dit-il. Dors en paix, mon amour.
Il quitta son appartement comme aurait pu le faire un fantôme et Gabriel se retrouva seul.
Il s’endormit rapidement et rêva uniquement de Frédéric.

Dès ce jour, il fut happé dans une boucle sans fin.
A chaque fois que l’occasion se présentait, où et quand que ce fut, Frédéric le couvrait de tendresse charnelle. Mais cela n’allait jamais jusqu’au bout, pas de douleur, juste du plaisir. Et, chaque fois, Gabriel se sentait un peu plus encore en son pouvoir.
Les cours avaient repris et il ne se passait pas une semaine sans que Frédéric ne l’attire dans un endroit désert ou ne s’introduise dans son appartement.
Gabriel ne prononçait quasi pas un mot durant ces rencontres passionnées et se laissait bercer par les douces paroles de son compagnon.
Plusieurs mois passèrent et un soir, allongé aux côtés de Gabriel, dans son lit, Frédéric lui posa une question.
- J’aime tout en toi mon cher amour, mais toi, m’aimes-tu ?
La question l’avait pris au dépourvu.
Gabriel écarta une mèche du visage du jeune homme et lui sourit.
- Je ne sais pas, lui dit-il étrangement détaché. J’ai besoin de toi mais est-ce de l’amour ? Je ne peux pas le dire. Je... je...
- Ce n’est pas grave, le rassura Frédéric, tu es heureux dans mes bras et, tant que tu ne connaîtras pas tes véritables sentiments, je déploierai assez d’amour pour nous deux.
Mais cette interrogation resta ancrée en Gabriel.
Que ressentait-il pour cet homme ?

Les semaines s’enchaînaient rapidement. Il ne pouvait plus se passer de Frédéric, le désir qu’il éprouvait pour lui ne cessait de croître. Combien de fois ne s’étaient-ils pas retrouvés dans une cabine de la piscine à s’embrasser, leur peau encore perlée d’eau, ou allongés dans les buissons d’un parc peu après l’aube à se caresser et se réchauffer mutuellement de leur corps ?
Gabriel passa les fêtes de fin d’année à travailler et, bien sur, reçu de fréquentes visites de son amant.
Bientôt arriva la date à laquelle sa mère l’avait quitté, deux ans plus tôt. Comme l’année précédente, il reçu des nouvelles de sa soeur qui lui annonçait qu’elle avait quitté son petit ami parce qu’elle ne l’aimait pas sincèrement. La jeune femme n’avait pas encore trouvé un travail stable et, enfin, lui écrivait qu’elle espérait qu’il était heureux.
Cette lettre ouvrit alors une brèche dans son quotidien.
Qu’était devenue sa vie ? Il se sentait bien, du moins s’en persuadait-il, mais depuis le début quelque chose le rongeait de l’intérieur. Et, jour après jour, cette ombre s’était étendue en lui et s’apprêtait aujourd’hui à l’engloutir. Que faisait-il ? Depuis la première rencontre, il avait su qu’il n’aimerait jamais Frédéric. Mais il ne pouvait plus imaginer sa vie sans lui. Gabriel se servait de lui et se laisser aussi dominer par lui. Il ne s’intéressait plus à ses cours, ne prenait plus aucun plaisir dans la solitude pas plus que dans la compagnie de ses quelques connaissances, qu’il délaissait un peu plus chaque jour.
Rien ne parvenait à éveiller sa curiosité ou son intérêt ; tout lui paraissait vint.
Et sa mère ? A quel point aurait-elle été déçue si elle vivait encore ?
Il se haïssait pour sa faiblesse et sa décadence, pour le plaisir qu’il prenait à se laisser « avilir », pour le désintéressement qu’il ressentait à présent pour la vie.
Pourtant un doute subsistait en Gabriel. Si cette situation n’était pas aussi malsaine qu’il le pensait, si la culpabilité qu’il ressentait n’était pas fondée... ?

Le mois de mars débuta.
Gabriel reçu une lettre de sa soeur qui avait décidé de s’installer dans la région et qui, pour la première fois depuis longtemps, lui indiquait des coordonnées où il pouvait la joindre. Mais, son amant étant toujours son centre de préoccupation principal, il n’y prêta guère attention.
Frédéric devenait d’ailleurs de plus en plus tendre avec lui et était allé jusqu’à lui donner son adresse et son numéro de téléphone.
Le deuxième week-end du mois Gabriel prit enfin sa décision. Il n’alla pas travailler ce jour là et, ce samedi, tôt au matin, il téléphona à Frédéric.
- Allô ?
- Salut, c’est Gabriel, tu pourrais passer chez moi ce soir ?
- Bien sûr mon amour.
Il perçut la surprise dans sa voix.
- Mais pourquoi une demande aussi soudaine ? continua-t-il.
- Cela n’est pas important ; je veux seulement te voir. A ce soir.
Puis il raccrocha, l’écho de la voix de Frédéric faisant encore vibrer le désir en lui.
A la nuit tombée, Gabriel accueillit son amant par un baiser empli de tendresse puis le fit entrer dans son appartement.
- Quelle belle entrée en matière ! commença Frédéric. Tu...
En apercevant la table garnie de bougies, de serviettes et de plats, ce dernier se tut et sourit, heureux.
- Est-ce... est-ce bien ce que je pense ?
- Installe-toi, lui souffla Gabriel sur un ton des plus aimant tout en lui attrappant le bras pour l’amener vers une chaise.
Gabriel leur servit des pâtes avec de la sauce bolognaise parsemée de légumes accompagnées de parmesan. Puis il leur versa du vin rouge dans deux coupes.
Le jeune homme s’installa face à lui.
- Je veux te connaître , déclara-t-il.
Frédéric sembla un instant perdu mais un sourire merveilleux s’épanouit rapidement sur son visage.
- Je ne m’attendais vraiment pas à ça ! Tu es vraiment l’être dont j’ai toujours rêvé, mon ange... Que veux-tu savoir de moi ? Tu sauras tout ce dont tu auras envie, lui dit-il.
- Eh bien, quelles sont tes passions par exemple ?
Il dînèrent tout en parlant de Frédéric, de sa vie, dans une ambiance des plus romantique. Ils prirent un dernier verre avant que Gabriel n’entraîne son compagnon dans sa chambre.
- Hmm... Quelle délicieuse odeur..., s’étonna Frédéric.
C’est de l’encens, lui répondit le jeune homme avant d’abandonner son amant quelques instant au centre de la pièce.
Il enclencha le lecteur CD de sa chaîne stéréo puis le rejoint. Gabriel lui caressa tendrement la joue tandis que les premières notes du premier mouvement du « Clair de lune » de Beethoven (1) s’envolaient majestueusement.
- Est-ce que tu m’aimes ?
- Mon beau Gabriel, tu as tout mon amour, lui dit-il en embrassant la base de sa nuque.

A suivre...

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(1) Restes de ma période Beethoven...
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Gomen ^^' J'ai dû couper là pour ne pas y introduire le petit lime...
Voilà, maintenant reste qu'un chapitre, qui souhaite recevoir ce "truc" ?

Aaaaaaaaaah, ca devient beaucdoup plus mignon!!!!!!!!
moi je veux le petit truc!!! moi je le veux!!!!
*saute sous le nez de kokoro-chan en agitant les bras*
moi, moi, moi!!!!!

/me s'installe et attend avec impatience son MP

Ouiiii moi aussi je le veux!! ^o^
*imite Mogy*
L'est bien ce chap *w*
J'ai hate de lire la suite ><

Bravo

Kaya a écrit:

*imite Mogy*

Kaya, copieeeeeeeeeuuuuuuuuse!!!!
/me


/me rerentre... C'est quand meme moi qui l'ai demandé la premiere, hein!!! alors premiere arrivée, premiere servie!!!!

mogyuki a écrit:

Kaya a écrit:

*imite Mogy*

Kaya, copieeeeeeeeeuuuuuuuuse!!!!
/me


/me rerentre... C'est quand meme moi qui l'ai demandé la premiere, hein!!! alors premiere arrivée, premiere servie!!!!

Maiieuuuuh ¬¬ ze suis pas une copieuse moi >o<
(pis d'abord ton message c'est un peu un flood hein ;p...oui bon je sais le mien aussi u_u)
/me
Gomen Kokoroyume pour ce post tout à fait inutile et...inutile XDDD (deuxieme arrivée deuxieme servie hein? *chibi eyes*)

Ah vi, la suite...? Je vous l'envoie dans quelques minutes ^^

je viens de recevoir et de lire la fin, et sans spoiler, je tiens juste a dire que c'est excellent, et je vous conseille a toutes d'aller la reclamer a kokoro-chan ^^

Felicitations pour cette superbe fic, et vivement la prochaine

Merci !
Ton mp m'a vraiment fait plaisir ^^ !
Je suis ravie que tu aies apprécié ^____^ !

haaa c'était magnifique!! ><
trop bieeeen
La fin est *o* (mais c'est triiisteuuuh quand même é è)
J'ai trouvé cette fic tout à fait réussie! Je n'ai pas trouvé que la fin était facile à deviner, au contraire ça m'a pas mal étonnée XD

Bravo!!

Merci beaucoup Kaya ^__^ !
Vraiment contente que la fin t'ait plu ^^

La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteuh ^___________^

Je suis pas fan de yaoï (^^' il en reste encore XD) mais là... Je tiens pluuuuuuuuus <3

Dis dis, tu peux me l'envoyer en mp kokoroyume ??

Vi, la voilà ^^ !