Disclaimer: Aucun de ces personnages ne m'appartiennent, malheureusement, d'ailleurs, sinon, je me serai déchaînée sur Hermione (je la hais...mais...pourquoi je parle d'elle alors qu'elle n'y est même pas). Ils appartiennent tous à l'auteur du livre Harry Pottre, je cite J.K.Rowling.
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LA CAGE DE FER
A la fin de l’année, à Londres, le sorcier Lucius Malfoy vit « paisiblement » avec sa femme et son jeune fils de trois ans, Draco. Un soit disant ami des Malfoy, Severus Rogue, a fait enlever la jolie femme de Lucius qui résistait ses avances. Quelque temps plus tard, elle regagne son village…
Lucius avait l’esprit fait autrement que les autres : il ne fit pas un reproche à la pauvre femme, mais il alla s’embusquer sur le chemin de Rogue, et comme il passait auprès de celui-ci, il lui allongea, au-dessous de la sixième côte gauche, un coup violent de poignard ensorcelé dont il (Rogue) mourut, malgré les sortilèges qu’il s’était lancé, deux heures plus tard. Ce qui lui en donna peu de temps pour prier Satan, mais ce qui lui en donna assez pour nommer son assassin.
Lucius Malfoy, à contre cœur, prit la fuite, et se réfugia dans la montagne, où ses proches lui portaient à manger chancun à leur tour ; On sut cela, et on les arrêta tous, impuissants face aux aurores, comme complice au meurtre de Severus Rogue. Lucius, qui ne voulait pas que ses proches payassent (non, j’ai pas dit « paillasson ») pour lui, écrivit une lettre où il était dit qu’il était prêt à se livrer si l’on voulait relâcher ses proches. On le lui promit, il se livra, fut envoyer aux Détraqueurs où il reçut le baiser fatal. Quant à ses proches, il furent détenus à Azkaban. Ce n’était pas là précisément l’engagement que l’on avait pris avec Lucius ; mais si les gens du Ministère tinssent leurs engagements avec tout le monde, on comprend que cela les mènerait trop loin… (bah voyons… UU)
La pauvre mère, quant à elle, resta donc, triste, au foyer avec le petit Draco Malfoy, alors âgé de cinq ans. Mais un jour, la mère se réveilla en sursaut en entendant son fils crier à plein poumons ; Celui-ci hurlait de toutes ses forces en pointant du doigt une cage. Narcissa courut vers son fils et l’enlaça sans même regarder la chose que son fils montrait d’un air terrifié.
« Mère… Père est revenu, disait-il, mais… pas entier… »
Narcissa détourna alors son regard de Draco et tourna lentement sa tête vers la commode… Une cage… Avec, à l’intérieur, la tête de son mari… Elle ne cria, ni ne s’enragea. Une larme, une seule, perlait sa joue pâle.
Elle prit la main de Draco, réduit par la magie ses affaires pour faire en sorte que ceux-ci rentreraient bien dans sa poche. Le petit lui posa des questions, mais elle répondit pas. Au bout d’un moment, Draco, exaspéré, pleurant toutes les larmes de son corps, tira sur la robe de sa mère.
« Il faut partir, Draco. »
C’est à ce moment qu’elle caressa tendrement la joue de son fils. Puis, tout deux s’en allèrent se cacher dans la même montagne. Pendant dix-sept ans, on entendit plus parler ni de l’un, ni de l’autre…
Au bout de ce temps, Draco réapparut. C’était un beau jeune homme de 21 ans, au visage sombre, à la main prompte, et dont la vie sauvage avait singulièrement accru sa force et son adresse naturelles. A part cet air de tristesse répandu sur ses traits fins, il paraissait avoir complètement oublié la cause qui lui avait fait quitter Londres ; seulement, quand il passait devant un « monument », il courbait le front pour ne pas voir la cage de fer que les habitant avaient exposé où il y restaient encore quelque restes de la tête de son père, devenant encore plus pâle qu’il ne l’était déjà…